L’amorce finance et soutient des collectifs, activistes et mouvements sociaux de base qui œuvrent pour un changement systémique.
L’amorce reçoit des dons réguliers ou occasionnels. Ils sont à la base de son fonctionnement.
En savoir plus ➤Les décisions sont prises démocratiquement, par des personnes tirées au sort.
En savoir plus ➤Nous accordons des bourses et des prêts (à 0% ou à taux négatif).
En savoir plus ➤Nous facilitons la récolte d'argent pour des collectifs et associations.
En savoir plus ➤Ce que l'on fait
L’amorce récolte puis redistribue de l’argent.
Les financements viennent :
- de la « mutualisation des revenus » de personnes qui choisissent de collectiviser chaque mois 1 % de leurs revenus (ou plus). Ces gens soutiennent structurellement la vision de l’amorce et permettre le financement de bourses.
- de dons occasionels ou des donations en argent ou en nature (biens mobiliers ou immobiliers) de personnes physiques, d’associations, d’organisations de la société civile ou d’entreprises.
- d’activités de récoltes de fonds.
Ces moyens collectés servent à :
- accorder des bourses à des collectifs, associations ou des personnes.
- prêter de l’argent sans intérêt, ou à un taux d’intérêt négatif, à des projets contribuant au même but social que l’amorce.
- détenir des biens mobiliers et immobiliers, tels que des bâtiments, des terrains ou des outils de production, et les mettre à disposition de projets collectifs.
En plus de ces actions générales, des collectifs ou associations qui le désirent peuvent faire une demande pour la création d’un fonds spécifique : un « compte bancaire virtuel » leur permettant de récolter de l’argent par eux-mêmes.
Pourquoi l'amorce?
À Liège, on a décidé de donner un coup de pouce à des collectifs, des activistes et des mouvements sociaux qui luttent sur le terrain et qui résistent aux injustices et aux destructions. Les idées ne manquent pas. Ce qui manque souvent et beaucoup, c’est l’argent !
Alors, avec l’amorce, on a décidé de donner un coup de pouce à ces projets qui font du bien aux gens et à la planète. On ne compte plus trop sur les autorités pour les soutenir, alors on a choisi de le faire nous-mêmes.